LES NEWS C'EST ICI !
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L'enfant Voodoo
archibald de montpucier
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archibald de montpucier- Fonction : Majordome révoqué pour filouterie d'aliment (art 315-5 du code pénal) Fait la manche pour survivre
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Date d'inscription : 16/05/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
Même pas besoin, en fait !
Je suis tellement près de la frontière que je capte une chiée de radios FR.
En général, j'écoute France Info, mais on capte aussi Europe 1, France Culture, RTL2, etc...
Je suis tellement près de la frontière que je capte une chiée de radios FR.
En général, j'écoute France Info, mais on capte aussi Europe 1, France Culture, RTL2, etc...
L'enfant Voodoo- Fonction : Influenceur nihiliste
Messages : 13998
Date d'inscription : 09/04/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
Et les chaines de télé françaises tu les as par satellite ou pas?L'enfant Voodoo a écrit:Même pas besoin, en fait !
Je suis tellement près de la frontière que je capte une chiée de radios FR.
En général, j'écoute France Info, mais on capte aussi Europe 1, France Culture, RTL2, etc...
archibald de montpucier- Fonction : Majordome révoqué pour filouterie d'aliment (art 315-5 du code pénal) Fait la manche pour survivre
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Date d'inscription : 16/05/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
France : bientôt 11 vaccins obligatoires !
Chère amie, cher ami,
Depuis l’année 2008, le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) n’est plus disponible dans les pharmacies en France.
Ce vaccin était le seul obligatoire. Il était important. Il avait été utilisé depuis des décennies avec succès. Ces maladies avaient été pratiquement éradiquées.
Il s’agissait d’un vaccin sûr. Il ne contenait pas d’aluminium. Qui plus est, c’était un vaccin bon marché (6,54€).
Mais depuis 2008, les laboratoires pharmaceutiques ont retiré le DTP du marché. Ils l’ont remplacé par un super-vaccin contenant des vaccins contre trois maladies non-obligatoires.
Ce vaccin, appelé Infanrix-hexa :
contient trois vaccins qui ne sont pas obligatoires ;
contient de l’aluminium et d’autres adjuvants ;
contient le très controversé vaccin contre l’hépatite B (parfaitement inutile pour la plupart des nourrissons)
et il coûte 7 fois plus cher !!
Mais les parents sont obligés de l’acheter et de l’injecter pour se conformer à leur obligation vaccinale !!!
Cette situation est anormale. Elle est injustifiée. Depuis longtemps les autorités auraient du réagir. Elles ne l’ont pas fait.
L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a lancé avec le Pr Henri Joyeux, en mai 2015, une grande pétition pour le retour du classique DTP sans aluminium. Cette action a déclenché une immense prise de conscience. Plus d’un million de citoyens ont participé. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a réagi en lançant une consultation nationale sur les vaccins.
Cette consultation devait être démocratique.
Elle devait être ouverte.
Elle devait répondre aux légitimes inquiétudes des parents, des grands-parents, de la population.
Elle devait tenir compte de l’intérêt et de la santé des enfants, des risques associés au vaccin, du problème de l’incertitude, des dangers, et des accidents, parfois graves, qui ont eu lieu avec la vaccination.
Mais le Comité pour la Vaccination a rendu son rapport public le 30 novembre 2016. [1]
Et c’est un véritable scandale.
Plutôt que de rappeler à l’ordre les laboratoires pharmaceutiques, et d’exiger à nouveau le simple DTP, le Comité demande exactement le contraire :
Il recommande de rendre obligatoire tous les vaccins présents dans le super-vaccin ;
Il recommande d’ajouter cinq autres vaccins obligatoires ;
Il parle même de rendre obligatoire le tristement célèbre Gardasil, contre le cancer du col de l’utérus (vaccin anti-papillomavirus), et éventuellement d’étendre l’obligation à tous les petits garçons !!!
Il recommande de priver les enfants d’accès aux crèches, écoles et toute autre collectivité si les parents refusent une seule de ces vaccinations ;
Il conseille d’engager des poursuites judiciaires contre les parents récalcitrants [2]
Il veut mettre à la charge de la collectivité (c’est-à-dire vous et moi) les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu’à celle de l’industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;
Enfin, il recommande « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble des recommandations ».
Jamais une offensive aussi directe n’avait été menée dans la santé.
---------
Signez, c’est urgent, SIGNEZ LA PETITION CI-DESSOUS POUR BLOQUER CE PROJET avant qu’il ne soit TROP TARD !!
http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php
----------
Nous devons être des millions à dire NON. La France entière qui doit se lever.
« C’EST A N’Y RIEN COMPRENDRE », commentait le journal Le Figaro, au sujet de cette préconisation. [3]
« Une position déroutante », déplorait Libération. [4]
Cela ressemble en effet à la politique du pire ! Et à une provocation lancée à la figure de toute la population. Certains ont parlé du « Dernier coup de poignard de Marisol Touraine » !!!
Il s’agit en somme de rendre 11 vaccins obligatoires : hépatite B, coqueluche, haemophilus influenzae b, pneumocoque, méningocoque C, rougeole, oreillons, rubéole, plus les rappels.
Pire encore, leur projet est de mettre tous les risques et les coûts à notre charge :
Page 32 du rapport [1], il est expliqué que la « prise en charge intégrale de l’achat des vaccins par les régimes obligatoires de l’assurance maladie doit être assurée. Le coût d’une telle mesure est estimé entre 110 et 120 millions €/an. » C’est donc les assurés sociaux, autrement dit vous et moi et toute la population, qui sommes mis à contribution ; et notre argent ira à l’industrie pharmaceutique ;
Page 32 également [1], il est recommandé, pour les accidents qui se produiront inévitablement, « d’imposer un régime d’indemnisation des effets indésirables par la solidarité nationale », c’est-à-dire encore une fois nous faire payer vous et moi, via nos impôts.
Sont-ils devenus fous ??
D’où un tel mépris leur vient-il ?? Se croient-ils dans une dictature ??
Apparemment oui ! Et à ce stade, c’est au peuple de se défendre !!
Il n’y a pas une ligne dans le rapport qui défende l’opinion majoritaire dans la population.
Tout semble avoir été écrit par les labos pharmaceutiques.
Ce Comité Vaccination qu’on nous avait présenté comme « représentatif » est une supercherie.
« L’élaboration de cette parole citoyenne s’est faite en l’absence de toute publicité », a d’ailleurs souligné le journal Libération. [5]
Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu’un haut fonctionnaire avait claqué la porte du Ministère de la Santé.
Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, Secrétaire Général de la Conférence Nationale de Santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé ».
Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l’Institut pour la Démocratie en Santé.
« Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l’ensemble des moyens d’expression de la démocratie en santé ».
Seuls les acharnés de la vaccination et les industriels avaient été invités !!
Le Président du Comité de Vaccination, Alain Fischer a reçu en 2013 le prix Sanofi Pasteur, une distinction propre à ce laboratoire pharmaceutique qui est l’un des plus grands fabricants de vaccins du monde !
Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre sur les réseaux sociaux :
« Comment peut-on "rétablir la confiance" par une dictature médicale ? », déplorait un lecteur sur le site du quotidien Libération. [6]
« On vous oblige à vous injecter des vaccins et, en prévision de la prise en charge des soins d'une grave complication, pour ne pas faire payer les laboratoires pharmaceutiques, on vous colle une nouvelle taxe sur les médicaments ! » s’insurge un internaute en réaction à l’annonce.
« Comment peut-on nous prendre à ce point pour des idiots ???!!!! Je suis tellement attristé et en colère. Quel pays !!!... » réagissait jeudi 1er décembre au matin un auditeur de RMC, qui venait de recevoir la nouvelle sur la tête.
« Clairement c'est du totalitarisme », réagissait-on sur le site du journal 20 Minutes. [7]
« Comment se fait-il qu’en Allemagne ou en Espagne, où les vaccins ne sont pas obligatoires, il n’y ait pas plus d’épidémie que chez nous ?! » [8]
Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée.
Personne ne doit pouvoir dire, ou affirmer, que ces réactions sont isolées.
Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum, pour opposer un véritable barrage démocratique à cette initiative.
Nous savons que des millions de signatures sont nécessaires.
Et nous pouvons les rassembler : plus de 40 % des Français ont compris qu’il y avait du flou derrière le discours du gouvernement sur la vaccination. [9]
Il est important d’agir au plus vite car la Ministre de la Santé cherchera très probablement à agir avant l’ouverture de la campagne électorale de 2017 (dans cinq semaines, après les primaires du parti socialiste).
C’est pourquoi nous sommes dans l’urgence absolue. C’est une question de jours, ou peut-être même d’heures.
Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous.
C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles si nous ne leur imposons pas leur onze vaccins obligatoires !!
Derrière, ce sont des milliers, ou au minimum des centaines d’effets indésirables graves qui se produiront. Mathématiquement, c’est une certitude. Cela pourra être chez vous, dans votre entourage, ou dans le mien.
Ne nous laissons pas faire !!! MOBILISONS TOUT NOTRE ENTOURAGE.
TRANSFÉREZ CET APPEL PARTOUT AUTOUR DE VOUS.
C’EST NOTRE DERNIÈRE CHANCE !!!
Un grand merci,
Augustin de Livois
Chère amie, cher ami,
Depuis l’année 2008, le vaccin DTP (Diphtérie-Tétanos-Poliomyélite) n’est plus disponible dans les pharmacies en France.
Ce vaccin était le seul obligatoire. Il était important. Il avait été utilisé depuis des décennies avec succès. Ces maladies avaient été pratiquement éradiquées.
Il s’agissait d’un vaccin sûr. Il ne contenait pas d’aluminium. Qui plus est, c’était un vaccin bon marché (6,54€).
Mais depuis 2008, les laboratoires pharmaceutiques ont retiré le DTP du marché. Ils l’ont remplacé par un super-vaccin contenant des vaccins contre trois maladies non-obligatoires.
Ce vaccin, appelé Infanrix-hexa :
contient trois vaccins qui ne sont pas obligatoires ;
contient de l’aluminium et d’autres adjuvants ;
contient le très controversé vaccin contre l’hépatite B (parfaitement inutile pour la plupart des nourrissons)
et il coûte 7 fois plus cher !!
Mais les parents sont obligés de l’acheter et de l’injecter pour se conformer à leur obligation vaccinale !!!
Cette situation est anormale. Elle est injustifiée. Depuis longtemps les autorités auraient du réagir. Elles ne l’ont pas fait.
L’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle a lancé avec le Pr Henri Joyeux, en mai 2015, une grande pétition pour le retour du classique DTP sans aluminium. Cette action a déclenché une immense prise de conscience. Plus d’un million de citoyens ont participé. La ministre de la Santé, Marisol Touraine, a réagi en lançant une consultation nationale sur les vaccins.
Cette consultation devait être démocratique.
Elle devait être ouverte.
Elle devait répondre aux légitimes inquiétudes des parents, des grands-parents, de la population.
Elle devait tenir compte de l’intérêt et de la santé des enfants, des risques associés au vaccin, du problème de l’incertitude, des dangers, et des accidents, parfois graves, qui ont eu lieu avec la vaccination.
Mais le Comité pour la Vaccination a rendu son rapport public le 30 novembre 2016. [1]
Et c’est un véritable scandale.
Plutôt que de rappeler à l’ordre les laboratoires pharmaceutiques, et d’exiger à nouveau le simple DTP, le Comité demande exactement le contraire :
Il recommande de rendre obligatoire tous les vaccins présents dans le super-vaccin ;
Il recommande d’ajouter cinq autres vaccins obligatoires ;
Il parle même de rendre obligatoire le tristement célèbre Gardasil, contre le cancer du col de l’utérus (vaccin anti-papillomavirus), et éventuellement d’étendre l’obligation à tous les petits garçons !!!
Il recommande de priver les enfants d’accès aux crèches, écoles et toute autre collectivité si les parents refusent une seule de ces vaccinations ;
Il conseille d’engager des poursuites judiciaires contre les parents récalcitrants [2]
Il veut mettre à la charge de la collectivité (c’est-à-dire vous et moi) les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu’à celle de l’industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;
Enfin, il recommande « la mise en œuvre sans délai de l’ensemble des recommandations ».
Jamais une offensive aussi directe n’avait été menée dans la santé.
---------
Signez, c’est urgent, SIGNEZ LA PETITION CI-DESSOUS POUR BLOQUER CE PROJET avant qu’il ne soit TROP TARD !!
http://petitions.ipsn.eu/mobilisation-vaccins-enfants/index.php
----------
Nous devons être des millions à dire NON. La France entière qui doit se lever.
« C’EST A N’Y RIEN COMPRENDRE », commentait le journal Le Figaro, au sujet de cette préconisation. [3]
« Une position déroutante », déplorait Libération. [4]
Cela ressemble en effet à la politique du pire ! Et à une provocation lancée à la figure de toute la population. Certains ont parlé du « Dernier coup de poignard de Marisol Touraine » !!!
Il s’agit en somme de rendre 11 vaccins obligatoires : hépatite B, coqueluche, haemophilus influenzae b, pneumocoque, méningocoque C, rougeole, oreillons, rubéole, plus les rappels.
Pire encore, leur projet est de mettre tous les risques et les coûts à notre charge :
Page 32 du rapport [1], il est expliqué que la « prise en charge intégrale de l’achat des vaccins par les régimes obligatoires de l’assurance maladie doit être assurée. Le coût d’une telle mesure est estimé entre 110 et 120 millions €/an. » C’est donc les assurés sociaux, autrement dit vous et moi et toute la population, qui sommes mis à contribution ; et notre argent ira à l’industrie pharmaceutique ;
Page 32 également [1], il est recommandé, pour les accidents qui se produiront inévitablement, « d’imposer un régime d’indemnisation des effets indésirables par la solidarité nationale », c’est-à-dire encore une fois nous faire payer vous et moi, via nos impôts.
Sont-ils devenus fous ??
D’où un tel mépris leur vient-il ?? Se croient-ils dans une dictature ??
Apparemment oui ! Et à ce stade, c’est au peuple de se défendre !!
Il n’y a pas une ligne dans le rapport qui défende l’opinion majoritaire dans la population.
Tout semble avoir été écrit par les labos pharmaceutiques.
Ce Comité Vaccination qu’on nous avait présenté comme « représentatif » est une supercherie.
« L’élaboration de cette parole citoyenne s’est faite en l’absence de toute publicité », a d’ailleurs souligné le journal Libération. [5]
Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu’un haut fonctionnaire avait claqué la porte du Ministère de la Santé.
Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, Secrétaire Général de la Conférence Nationale de Santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé ».
Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l’Institut pour la Démocratie en Santé.
« Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l’ensemble des moyens d’expression de la démocratie en santé ».
Seuls les acharnés de la vaccination et les industriels avaient été invités !!
Le Président du Comité de Vaccination, Alain Fischer a reçu en 2013 le prix Sanofi Pasteur, une distinction propre à ce laboratoire pharmaceutique qui est l’un des plus grands fabricants de vaccins du monde !
Les réactions n’ont pas tardé à se faire entendre sur les réseaux sociaux :
« Comment peut-on "rétablir la confiance" par une dictature médicale ? », déplorait un lecteur sur le site du quotidien Libération. [6]
« On vous oblige à vous injecter des vaccins et, en prévision de la prise en charge des soins d'une grave complication, pour ne pas faire payer les laboratoires pharmaceutiques, on vous colle une nouvelle taxe sur les médicaments ! » s’insurge un internaute en réaction à l’annonce.
« Comment peut-on nous prendre à ce point pour des idiots ???!!!! Je suis tellement attristé et en colère. Quel pays !!!... » réagissait jeudi 1er décembre au matin un auditeur de RMC, qui venait de recevoir la nouvelle sur la tête.
« Clairement c'est du totalitarisme », réagissait-on sur le site du journal 20 Minutes. [7]
« Comment se fait-il qu’en Allemagne ou en Espagne, où les vaccins ne sont pas obligatoires, il n’y ait pas plus d’épidémie que chez nous ?! » [8]
Le problème est que ces réactions, bien que nombreuses, resteront lettre morte sans une concertation, une action citoyenne groupée.
Personne ne doit pouvoir dire, ou affirmer, que ces réactions sont isolées.
Pour montrer notre nombre et notre détermination, il est indispensable de faire monter le compteur de pétitions au maximum, pour opposer un véritable barrage démocratique à cette initiative.
Nous savons que des millions de signatures sont nécessaires.
Et nous pouvons les rassembler : plus de 40 % des Français ont compris qu’il y avait du flou derrière le discours du gouvernement sur la vaccination. [9]
Il est important d’agir au plus vite car la Ministre de la Santé cherchera très probablement à agir avant l’ouverture de la campagne électorale de 2017 (dans cinq semaines, après les primaires du parti socialiste).
C’est pourquoi nous sommes dans l’urgence absolue. C’est une question de jours, ou peut-être même d’heures.
Ne perdez pas une seconde pour signer la pétition et transférer ce message le plus largement possible autour de vous.
C’est notre dernière chance de bloquer l’offensive ; sinon, dans quelques semaines, nous pourrions nous réveiller avec l’interdiction de mettre nos enfants dans les écoles si nous ne leur imposons pas leur onze vaccins obligatoires !!
Derrière, ce sont des milliers, ou au minimum des centaines d’effets indésirables graves qui se produiront. Mathématiquement, c’est une certitude. Cela pourra être chez vous, dans votre entourage, ou dans le mien.
Ne nous laissons pas faire !!! MOBILISONS TOUT NOTRE ENTOURAGE.
TRANSFÉREZ CET APPEL PARTOUT AUTOUR DE VOUS.
C’EST NOTRE DERNIÈRE CHANCE !!!
Un grand merci,
Augustin de Livois
Baron Robert de la etc.- Fonction : Grammar nazi, diptèro-sodomite, écolo-nanar, capilotracteur, opposant à la pensée rance de droite !
Messages : 21485
Date d'inscription : 10/04/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
...et le professeur Joyeux a été viré de l'ordre des médecins...
archibald de montpucier- Fonction : Majordome révoqué pour filouterie d'aliment (art 315-5 du code pénal) Fait la manche pour survivre
Messages : 21064
Date d'inscription : 16/05/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
exact : un scandale !!!archibald de montpucier a écrit:...et le professeur Joyeux a été viré de l'ordre des médecins...
Baron Robert de la etc.- Fonction : Grammar nazi, diptèro-sodomite, écolo-nanar, capilotracteur, opposant à la pensée rance de droite !
Messages : 21485
Date d'inscription : 10/04/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
la loi est faite par l'industrie pharmacologique qui a les médecins dans sa poche et ces derniers tiennent le ministère de la santé par les couilles et les français en otage...C'est bien connu
archibald de montpucier- Fonction : Majordome révoqué pour filouterie d'aliment (art 315-5 du code pénal) Fait la manche pour survivre
Messages : 21064
Date d'inscription : 16/05/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
oui mais là ça commence a se voir grave !!!archibald de montpucier a écrit:la loi est faite par l'industrie pharmacologique qui a les médecins dans sa poche et ces derniers tiennent le ministère de la santé par les couilles et les français en otage...C'est bien connu
Baron Robert de la etc.- Fonction : Grammar nazi, diptèro-sodomite, écolo-nanar, capilotracteur, opposant à la pensée rance de droite !
Messages : 21485
Date d'inscription : 10/04/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
le problème est celui du conflit d'intérêts ! le prouver est le plus difficile car la vérité n'a plus de valeur dans ce genre de débat ! ceux qui sont appelés experts, ne sont nommés que par les laboratoires ! j'ai des articles sur les essais thérapeutiques des médocs dans les pays du tiers monde où quand il y a des problèmes, il n'y a pas de recours ! il faut reconnaitre aussi que le vent en poupe qu'ont les labos aujourd'hui est beaucoup du fait que la responsabilité de son corps devient culturellement, non pas une question personnelle mais une délégation à la "santé" qui paradoxalement ne s'occupe que de la maladie ! par contre toutes ses vaccinations baissent globalement la capacité d'immunité naturelle des individus ! le pire c'est que les citoyens restent majoritairement confiants en leur médecine !
BOB ! sur mon profil en bas je n'ai rien vu pour changer mon avatar ! je n'ai que des propositions pour créer un forum !
BOB ! sur mon profil en bas je n'ai rien vu pour changer mon avatar ! je n'ai que des propositions pour créer un forum !
dingdingueling- Fonction : Fou du con de la Comtesse, nul en mot de passe...
Messages : 2047
Date d'inscription : 22/10/2016
Re: LES NEWS C'EST ICI !
Journaliste (Canada). Auteure de The Body Hunters. Testing New Drugs on the World’s Poorest Patients, (paru) en octobre 2007 dans une traduction française de Pierre Saint-Jean, éditions Demopolis, Paris
Source: The globalist.com
Pour les essais cliniques, indispensables avant la mise en vente de nouveaux médicaments, les laboratoires pharmaceutiques se tournent désormais vers le Sud. Ils y trouvent des malades nombreux et plus dociles, ainsi que des contraintes éthiques et juridiques souvent moins rigoureuses que dans les pays riches. Si, faute d’alternative, les participants à ces essais peuvent en tirer parti, cette nouvelle forme d’exploitation des corps donne lieu à une inquiétante délocalisation des risques... sans grande contrepartie.
Jamais les fabricants de médicaments n’ont accordé autant d’attention aux pauvres de la planète. En Afrique du Sud, non loin des taudis de la banlieue du Cap, les laboratoires rutilants de Boehringer Ingelheim tranchent sur le paysage. En Inde, dans l’immeuble immaculé de Novartis construit à proximité des bidonvilles de Bombay, des chercheurs se creusent la tête pour élaborer de nouveaux médicaments. Leurs concurrents Pfizer, GlaxoSmithKline (GSK) et AstraZeneca ont tous créé récemment d’importants centres d’essais cliniques dans ce pays. Viennent-ils guérir les maux des patients appauvris qui font la queue devant leurs cliniques neuves ? En réalité, ils s’installent dans les pays en voie de développement dans le but d’y mener des expérimentations. En 2006, plus de la moitié des tests thérapeutiques de GSK ont eu lieu hors des marchés occidentaux, avec une préférence pour les pays « à bas coûts » (Bulgarie, Zambie, Brésil, Inde...) : on parle désormais de dizaines de milliers d’essais cliniques « délocalisés » (1).
L’objectif des laboratoires reste de concevoir des produits destinés à la clientèle des riches pays occidentaux, avec ses problèmes de santé liés au vieillissement – maladies cardiovasculaires, arthrite, hypertension et ostéoporose. Avec dix ordonnances par habitant et par an en moyenne, les Etats-Unis constituent le plus grand marché pharmaceutique du monde – le chiffre d’affaires y progresse de 15 % par an ; le nombre de nouveaux médicaments mis sur le marché a triplé entre 1970 et 1990. Cette situation s’explique en grande partie par une réglementation de plus en plus favorable à l’industrie. Depuis 1984, la Food and Drug Administration (FDA) a étendu le droit des brevets à l’ensemble des nouveaux médicaments ; en 1992, elle accepte d’accélérer l’examen des demandes d’homologation de nouveaux produits, en échange d’une participation financière des laboratoires. En 1997, elle vide de leur substance les dispositions interdisant la publicité télévisée pour de nouveaux produits pharmaceutiques.
Manque de volontaires aux Etats-Unis
Si les Occidentaux profitent de ceux-ci, ils sont moins que jamais enclins à participer aux études cliniques indispensables à leur élaboration. Chaque médicament doit être testé sur plus de quatre mille patients pour être validé, ce qui exige de faire subir des examens préalables à plus de cent mille personnes (2). Pourquoi un si grand nombre de tests ? La réponse vient des statistiques : il n’est pas nécessaire de recruter de nombreux volontaires pour démontrer l’efficacité, par exemple, de l’insuline sur les personnes sujettes à des comas diabétiques, car l’effet du produit est spectaculaire. Il est en revanche beaucoup plus difficile de prouver l’intérêt des médicaments pour les maladies cardio-vasculaires, l’arthrite, l’hypertension et d’autres pathologies chroniques, car, en dépit de tous les efforts déployés par l’industrie, la plupart d’entre eux ne sont que marginalement efficaces. Certains ne font guère mieux qu’un placebo. Le plus souvent, « il faut vraiment batailler pour trouver la différence », selon l’expression d’un vétéran de la recherche clinique, entre des patients traités et des patients non traités.
Les besoins de l’industrie en sujets expérimentaux sont donc considérables. Pourtant, moins de 5 % des Américains acceptent de prendre part à des essais thérapeutiques. Pour remédier à ce problème, les laboratoires les réalisent fréquemment en comparant l’effet du nouveau médicament avec celui d’un placebo. Il n’est alors pas besoin d’autant de sujets ; prouver qu’il est plus efficace de prendre un nouveau médicament que de ne rien prendre est tout ce qu’exige la FDA. Or les essais « contre placebo » ont par définition deux « branches » : un groupe suit le traitement en cours de test et l’autre, auquel on n’administre aucun traitement actif, sert de témoin (lire « Quatre phases d’essais »). Une telle mission est devenue quasiment impossible dans les pays occidentaux : d’une part, il est plus difficile de trouver des « patients naïfs », vierges de tout traitement ; d’autre part, l’éthique commande d’offrir au minimum le niveau de soins (standard of care) habituel dans le pays. Aux Etats-Unis, où seul un essai clinique sur cinq réussit à recruter suffisamment de personnes, chaque phase de l’élaboration d’un médicament qui n’aboutit pas ou se voit retardée constitue un manque à gagner de plusieurs millions de dollars...
Les maladies des pays pauvres ne figurent pas parmi les priorités des entreprises : seul un marché d’au moins 200 millions de dollars peut commencer à intéresser les stratèges de la pharmacie. Cependant, les populations des pays en voie de développement ne souffrent pas que du paludisme et de la tuberculose. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 80 % des décès provoqués par des maladies chroniques et non contagieuses sont recensés dans les pays en voie de développement. L’Inde et la Chine concentrent plus de 90 % des cas mondiaux de diabète de type 2. Dans certaines régions du continent africain, une personne sur cinq est diabétique, et vingt millions d’Africains souffrent d’hypertension (3).
Les implications de ce phénomène apparaissent « stupéfiantes et d’ores et déjà apparentes » à l’OMS. Les patients traités pour ces maladies connaissent un plus grand nombre de complications que dans les pays riches. Pour les responsables d’essais cliniques, c’est une aubaine. Ainsi, pour démontrer qu’une médication cardiaque est efficace, il faut établir que les personnes qui prennent le produit subissent moins d’« événements » que les autres. Les tests peuvent donc être réalisés beaucoup plus vite. Comme l’a souligné le dirigeant d’une société partenaire de l’industrie pharmaceutique dans le cadre d’une conférence sur l’utilité de ces essais dans les pays pauvres, « si l’on n’a pas suffisamment d’événements [en d’autres termes, de crises cardiaques ou de décès], on ne peut jamais terminer un essai ».
« L’Afrique du Sud est un pays formidable », m’a dit un autre dirigeant d’une société conduisant des essais cliniques, car un grand nombre de personnes infectées par le VIH n’y ont pas encore été traitées avec des agents antirétroviraux. Les patients naïfs – autrement dit, les malades trop pauvres pour avoir pu entreprendre un traitement – constituent un vivier de premier choix.
Appelées « organismes de recherche sous contrat » (ou CRO), de nombreuses sociétés se sont spécialisées dans la mise en place d’essais cliniques à l’étranger pour le compte des grands laboratoires pharmaceutiques. Elles s’appellent Quintiles, Covance, Charles River Laboratories ou PPD (voir le tableau « Principaux organismes de recherche sous contrat (CRO) »), et disposent de bureaux et de sites dans un grand nombre de pays en voie de développement. Quintiles, par exemple, opère au Chili, au Mexique, au Brésil, en Bulgarie, en Estonie, en Roumanie, en Croatie, en Lettonie, en Afrique du Sud, en Inde, en Malaisie, aux Philippines et en Thaïlande.
La rapidité est un atout crucial. Dans les pays occidentaux, recruter des sujets en nombre suffisant peut prendre des semaines, voire des années. Chargée d’un essai pour un vaccin expérimental, Quintiles a pu recruter, en Afrique du Sud, trois mille patients en neuf jours. Pour un autre, la société a réuni mille trois cent quatre-vingt-huit enfants en douze jours. Alors que, aux Etats-Unis, entre 40 % et 70 % des volontaires ont tendance à tergiverser puis à renoncer, les sociétés spécialisée en Inde assurent conserver 99,5 % des sujets volontaires (4).
Covance se vante de pouvoir conduire des essais dans vingt-cinq mille centres, établis dans une douzaine de pays. La presse spécialisée est en effervescence : « Skiez là où il y a de la neige, conseille la publicité d’une de ces CRO, menez vos essais cliniques là où il y a des maladies. »
Pour ses défenseurs, cette situation avantage tout le monde. Les centres de tests offrent des soins sans commune mesure avec ceux des cliniques locales – où il faut attendre des journées entières pour consulter un personnel débordé et dépourvu de moyens. Les participants devraient donc s’estimer privilégiés ; l’alacrité avec laquelle ils se pressent dans les centres prouverait qu’ils en sont conscients. Les cliniques accèdent ainsi aux technologies les plus avancées et bénéficient des équipements modernes indispensables pour réaliser les essais. « Nous avons obtenu des équipements, se souvient un chercheur indien, et ils n’ont jamais demandé qu’on les rende. »
Au demeurant, si les Occidentaux ne veulent plus se transformer en cobayes, cela ne signifie pas que c’est une mauvaise opération pour les autres ! Non seulement ils bénéficient d’un traitement de choix, mais il leur arrive aussi d’être payés en compensation. De même que l’on délocalise des usines pour profiter des salaires les plus faibles ou de contraintes environnementales moins drastiques, pourquoi – nous assure-t-on – ne pas déplacer une partie des essais cliniques ? « On m’accuse de profiter de la situation, se plaint un chercheur opérant dans des pays pauvres. Mais sans ces essais, ces enfants seraient morts ! » Pour M. Robert Temple, directeur médical à la FDA, l’analyse coût-avantage est irréfutable : « Les gens ont, de manière générale, tout intérêt à participer. La moitié des sujets se voient administrer [un médicament actif] et de meilleurs soins, dit-il. Et l’autre moitié [reçoit] de meilleurs soins. »
Pourtant, offrir son propre corps à la science n’est pas tout à fait la même chose qu’aller pointer chaque jour à l’usine. Rien ne garantit qu’un participant se portera mieux au terme de l’expérimentation. Cette incertitude et le risque d’effets négatifs sont d’ailleurs la raison première des essais cliniques.
De ce fait, le préalable absolu à la recherche éthique sur les êtres humains, tel qu’il est défini par une multitude de documents (notamment le code de Nuremberg, adopté en 1947 en parallèle au procès des médecins nazis, et la déclaration de Helsinki de l’Association médicale mondiale de 1964, révisée en 2004), pose que les sujets concernés puissent donner un consentement éclairé (c’est-à-dire après avoir été correctement informés et avoir compris) et volontaire. La décision ne doit pas être influencée par des mesures de compensation trop généreuses. Ce qui ne va pas sans paradoxes : lorsque des militants antisida ont demandé aux organisateurs d’un essai de vaccins expérimentaux de garantir un traitement à vie à tous les participants qui seraient infectés par le VIH au cours de cet essai, les chercheurs ont répliqué que cette exigence violerait le principe du consentement volontaire – des personnes non infectées auraient pu se porter volontaires pour (dans le cas d’une contamination) accéder par ce biais à des soins de santé autrement inabordables.
Néanmoins, la réalité apparaît, selon un nombre croissant de témoignages, comme fort éloignée de cette exigence. Le taux d’abandon est un des indicateurs employés par les spécialistes de bioéthique pour mesurer la qualité du consentement : si certains sujets refusent de participer ou décrochent en cours d’essai, ils démontrent avoir compris que leur participation était bien le fruit d’une démarche volontaire. Dans les pays occidentaux, ce taux dépasse souvent 40 %. En comparaison, de nombreux enquêteurs cliniques actifs dans les pays en voie de développement déclarent que les sujets potentiels ne refusent jamais de participer. La rapidité avec laquelle les personnes sont recrutées est un autre signe de ce décalage (5).
Dans certains cas (6), jusqu’à 80 % des participants ignorent qu’ils sont libres d’abandonner (lire « La “plaisanterie” du consentement éclairé »). Ce qui devrait constituer une preuve de coercition sert cependant d’argument pour conduire davantage d’essais. Un article publié dans le magazine Applied Clinical Trials souligne que les sujets russes « ne manquent pas leurs rendez-vous, prennent tous les cachets prescrits (...) et ne reviennent que très rarement sur leur consentement. (...) [Ils] font ce que leurs docteurs leur disent. C’est phénoménal ! ». Quant à la publication spécialisée CenterWatch, elle signale — citant un industriel du secteur — que « les Chinois ne sont pas aussi émancipés que les Américains. Ils acceptent volontiers de se transformer en cobayes humains ».
La surveillance exercée par les organismes de régulation européens et américains est minime. A leurs yeux, les essais conduits à l’étranger ont la même validité que ceux réalisés sur place ; toutefois, les fabricants ne sont pas tenus de déclarer ceux conduits à l’étranger : la seule exigence est le respect de la déclaration de Helsinki (et des règles locales si celles-ci prévoient une protection plus importante). Si les tests échouent (ce qui est souvent le cas), ils disparaissent sans laisser aucune trace.
Les comités d’éthique et les organismes de réglementation locaux, qui doivent veiller au respect des droits des sujets, sont rarement à la hauteur de la tâche. En Inde, par exemple, ces hauts fonctionnaires ont pour objectif prioritaire de favoriser le développement des essais cliniques, source de revenus importants. Plusieurs responsables ont déclaré s’attendre à ce que le chiffre d’affaires annuel passe de 70 millions à 1 milliard de dollars. La réglementation a été assouplie : exonérations diverses (droits de douane, impôts) ; élimination des clauses exigeant que des essais de phase III ne soient pas menés en parallèle dans d’autres pays ; suppression de la disposition exigeant que le médicament ait une « valeur spéciale » pour l’Inde (7).
Depuis, selon l’Economic Times, l’un des premiers périodiques économiques du pays, « les opportunités sont extraordinaires, les multinationales, partantes, et les sociétés indiennes, prêtes. Nous avons les compétences, les personnes, et disposons d’un avantage que la Chine n’a pas et n’aura probablement jamais. Surtout, il s’agit là d’une délocalisation contre laquelle les ouvriers américains ne risquent pas de s’élever (8) ».
Dans presque tous les domaines de la pratique médicale et de la recherche en Inde, l’absence de réglementations saute aux yeux. Ni la profession médicale ni l’enseignement ne peuvent se targuer de déontologie : certains établissements ont été accusés de recruter de faux enseignants pour tromper les inspecteurs, de vendre des certificats d’admission et de mettre leurs diplômes aux enchères. Quant au marché pharmaceutique, il est saturé de produits inefficaces ou dangereux, et le pays ne compte que six cents inspecteurs des produits pharmaceutiques. De plus, selon Chandra Gulhati, spécialiste de l’industrie pharmaceutique et éditeur en Inde du Monthly Index of Medical Specialties, « lorsqu’une société est prise en flagrant délit, elle réussit à s’en tirer avec un simple avertissement ».
Il n’est guère surprenant, dans ces conditions, que toute une série de scandales aient éclaté. Dans les années 1970, un médicament antipaludique non autorisé, la quinacrine, a été distribué à des centaines de milliers de femmes analphabètes. Il les a rendues définitivement stériles. Au milieu des années 1980, un contraceptif injectable, retiré du marché après la découverte de l’apparition de tumeurs chez le rat, fut testé sur des villageoises, qui déclarèrent ensuite « ne s’être jamais doutées qu’elles participaient à un essai ».
A la fin des années 1990, des chercheurs du service public ont délibérément interrompu le traitement dont bénéficiaient des femmes analphabètes atteintes de lésions précancéreuses au niveau des vertèbres cervicales afin d’étudier la progression de la maladie. Il est apparu évident plus tard que ces sujets n’avaient pas été informés et n’avaient donné aucun consentement à cette expérimentation qui rappelle la tristement célèbre étude Tuskegee (9). En 2001, dans l’Etat du Kerala, un chercheur de l’université Johns Hopkins a été découvert en train de tester un médicament anticancéreux expérimental sur des patients atteints d’un cancer avant que le produit n’ait été déclaré inoffensif sur des animaux. En 2003, un médicament anticancéreux expérimental a été administré à plus de quatre cents femmes qui cherchaient à améliorer leur fertilité ; le produit était toxique pour les embryons. Bien que la presse s’en soit fait l’écho, aucun de ces scandales n’a entraîné la mise en œuvre d’une quelconque protection juridique pour les personnes concernées.
Offrir les remèdes à qui les a expérimentés ?
Source: The globalist.com
Pour les essais cliniques, indispensables avant la mise en vente de nouveaux médicaments, les laboratoires pharmaceutiques se tournent désormais vers le Sud. Ils y trouvent des malades nombreux et plus dociles, ainsi que des contraintes éthiques et juridiques souvent moins rigoureuses que dans les pays riches. Si, faute d’alternative, les participants à ces essais peuvent en tirer parti, cette nouvelle forme d’exploitation des corps donne lieu à une inquiétante délocalisation des risques... sans grande contrepartie.
Jamais les fabricants de médicaments n’ont accordé autant d’attention aux pauvres de la planète. En Afrique du Sud, non loin des taudis de la banlieue du Cap, les laboratoires rutilants de Boehringer Ingelheim tranchent sur le paysage. En Inde, dans l’immeuble immaculé de Novartis construit à proximité des bidonvilles de Bombay, des chercheurs se creusent la tête pour élaborer de nouveaux médicaments. Leurs concurrents Pfizer, GlaxoSmithKline (GSK) et AstraZeneca ont tous créé récemment d’importants centres d’essais cliniques dans ce pays. Viennent-ils guérir les maux des patients appauvris qui font la queue devant leurs cliniques neuves ? En réalité, ils s’installent dans les pays en voie de développement dans le but d’y mener des expérimentations. En 2006, plus de la moitié des tests thérapeutiques de GSK ont eu lieu hors des marchés occidentaux, avec une préférence pour les pays « à bas coûts » (Bulgarie, Zambie, Brésil, Inde...) : on parle désormais de dizaines de milliers d’essais cliniques « délocalisés » (1).
L’objectif des laboratoires reste de concevoir des produits destinés à la clientèle des riches pays occidentaux, avec ses problèmes de santé liés au vieillissement – maladies cardiovasculaires, arthrite, hypertension et ostéoporose. Avec dix ordonnances par habitant et par an en moyenne, les Etats-Unis constituent le plus grand marché pharmaceutique du monde – le chiffre d’affaires y progresse de 15 % par an ; le nombre de nouveaux médicaments mis sur le marché a triplé entre 1970 et 1990. Cette situation s’explique en grande partie par une réglementation de plus en plus favorable à l’industrie. Depuis 1984, la Food and Drug Administration (FDA) a étendu le droit des brevets à l’ensemble des nouveaux médicaments ; en 1992, elle accepte d’accélérer l’examen des demandes d’homologation de nouveaux produits, en échange d’une participation financière des laboratoires. En 1997, elle vide de leur substance les dispositions interdisant la publicité télévisée pour de nouveaux produits pharmaceutiques.
Manque de volontaires aux Etats-Unis
Si les Occidentaux profitent de ceux-ci, ils sont moins que jamais enclins à participer aux études cliniques indispensables à leur élaboration. Chaque médicament doit être testé sur plus de quatre mille patients pour être validé, ce qui exige de faire subir des examens préalables à plus de cent mille personnes (2). Pourquoi un si grand nombre de tests ? La réponse vient des statistiques : il n’est pas nécessaire de recruter de nombreux volontaires pour démontrer l’efficacité, par exemple, de l’insuline sur les personnes sujettes à des comas diabétiques, car l’effet du produit est spectaculaire. Il est en revanche beaucoup plus difficile de prouver l’intérêt des médicaments pour les maladies cardio-vasculaires, l’arthrite, l’hypertension et d’autres pathologies chroniques, car, en dépit de tous les efforts déployés par l’industrie, la plupart d’entre eux ne sont que marginalement efficaces. Certains ne font guère mieux qu’un placebo. Le plus souvent, « il faut vraiment batailler pour trouver la différence », selon l’expression d’un vétéran de la recherche clinique, entre des patients traités et des patients non traités.
Les besoins de l’industrie en sujets expérimentaux sont donc considérables. Pourtant, moins de 5 % des Américains acceptent de prendre part à des essais thérapeutiques. Pour remédier à ce problème, les laboratoires les réalisent fréquemment en comparant l’effet du nouveau médicament avec celui d’un placebo. Il n’est alors pas besoin d’autant de sujets ; prouver qu’il est plus efficace de prendre un nouveau médicament que de ne rien prendre est tout ce qu’exige la FDA. Or les essais « contre placebo » ont par définition deux « branches » : un groupe suit le traitement en cours de test et l’autre, auquel on n’administre aucun traitement actif, sert de témoin (lire « Quatre phases d’essais »). Une telle mission est devenue quasiment impossible dans les pays occidentaux : d’une part, il est plus difficile de trouver des « patients naïfs », vierges de tout traitement ; d’autre part, l’éthique commande d’offrir au minimum le niveau de soins (standard of care) habituel dans le pays. Aux Etats-Unis, où seul un essai clinique sur cinq réussit à recruter suffisamment de personnes, chaque phase de l’élaboration d’un médicament qui n’aboutit pas ou se voit retardée constitue un manque à gagner de plusieurs millions de dollars...
Les maladies des pays pauvres ne figurent pas parmi les priorités des entreprises : seul un marché d’au moins 200 millions de dollars peut commencer à intéresser les stratèges de la pharmacie. Cependant, les populations des pays en voie de développement ne souffrent pas que du paludisme et de la tuberculose. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 80 % des décès provoqués par des maladies chroniques et non contagieuses sont recensés dans les pays en voie de développement. L’Inde et la Chine concentrent plus de 90 % des cas mondiaux de diabète de type 2. Dans certaines régions du continent africain, une personne sur cinq est diabétique, et vingt millions d’Africains souffrent d’hypertension (3).
Les implications de ce phénomène apparaissent « stupéfiantes et d’ores et déjà apparentes » à l’OMS. Les patients traités pour ces maladies connaissent un plus grand nombre de complications que dans les pays riches. Pour les responsables d’essais cliniques, c’est une aubaine. Ainsi, pour démontrer qu’une médication cardiaque est efficace, il faut établir que les personnes qui prennent le produit subissent moins d’« événements » que les autres. Les tests peuvent donc être réalisés beaucoup plus vite. Comme l’a souligné le dirigeant d’une société partenaire de l’industrie pharmaceutique dans le cadre d’une conférence sur l’utilité de ces essais dans les pays pauvres, « si l’on n’a pas suffisamment d’événements [en d’autres termes, de crises cardiaques ou de décès], on ne peut jamais terminer un essai ».
« L’Afrique du Sud est un pays formidable », m’a dit un autre dirigeant d’une société conduisant des essais cliniques, car un grand nombre de personnes infectées par le VIH n’y ont pas encore été traitées avec des agents antirétroviraux. Les patients naïfs – autrement dit, les malades trop pauvres pour avoir pu entreprendre un traitement – constituent un vivier de premier choix.
Appelées « organismes de recherche sous contrat » (ou CRO), de nombreuses sociétés se sont spécialisées dans la mise en place d’essais cliniques à l’étranger pour le compte des grands laboratoires pharmaceutiques. Elles s’appellent Quintiles, Covance, Charles River Laboratories ou PPD (voir le tableau « Principaux organismes de recherche sous contrat (CRO) »), et disposent de bureaux et de sites dans un grand nombre de pays en voie de développement. Quintiles, par exemple, opère au Chili, au Mexique, au Brésil, en Bulgarie, en Estonie, en Roumanie, en Croatie, en Lettonie, en Afrique du Sud, en Inde, en Malaisie, aux Philippines et en Thaïlande.
La rapidité est un atout crucial. Dans les pays occidentaux, recruter des sujets en nombre suffisant peut prendre des semaines, voire des années. Chargée d’un essai pour un vaccin expérimental, Quintiles a pu recruter, en Afrique du Sud, trois mille patients en neuf jours. Pour un autre, la société a réuni mille trois cent quatre-vingt-huit enfants en douze jours. Alors que, aux Etats-Unis, entre 40 % et 70 % des volontaires ont tendance à tergiverser puis à renoncer, les sociétés spécialisée en Inde assurent conserver 99,5 % des sujets volontaires (4).
Covance se vante de pouvoir conduire des essais dans vingt-cinq mille centres, établis dans une douzaine de pays. La presse spécialisée est en effervescence : « Skiez là où il y a de la neige, conseille la publicité d’une de ces CRO, menez vos essais cliniques là où il y a des maladies. »
Pour ses défenseurs, cette situation avantage tout le monde. Les centres de tests offrent des soins sans commune mesure avec ceux des cliniques locales – où il faut attendre des journées entières pour consulter un personnel débordé et dépourvu de moyens. Les participants devraient donc s’estimer privilégiés ; l’alacrité avec laquelle ils se pressent dans les centres prouverait qu’ils en sont conscients. Les cliniques accèdent ainsi aux technologies les plus avancées et bénéficient des équipements modernes indispensables pour réaliser les essais. « Nous avons obtenu des équipements, se souvient un chercheur indien, et ils n’ont jamais demandé qu’on les rende. »
Au demeurant, si les Occidentaux ne veulent plus se transformer en cobayes, cela ne signifie pas que c’est une mauvaise opération pour les autres ! Non seulement ils bénéficient d’un traitement de choix, mais il leur arrive aussi d’être payés en compensation. De même que l’on délocalise des usines pour profiter des salaires les plus faibles ou de contraintes environnementales moins drastiques, pourquoi – nous assure-t-on – ne pas déplacer une partie des essais cliniques ? « On m’accuse de profiter de la situation, se plaint un chercheur opérant dans des pays pauvres. Mais sans ces essais, ces enfants seraient morts ! » Pour M. Robert Temple, directeur médical à la FDA, l’analyse coût-avantage est irréfutable : « Les gens ont, de manière générale, tout intérêt à participer. La moitié des sujets se voient administrer [un médicament actif] et de meilleurs soins, dit-il. Et l’autre moitié [reçoit] de meilleurs soins. »
Pourtant, offrir son propre corps à la science n’est pas tout à fait la même chose qu’aller pointer chaque jour à l’usine. Rien ne garantit qu’un participant se portera mieux au terme de l’expérimentation. Cette incertitude et le risque d’effets négatifs sont d’ailleurs la raison première des essais cliniques.
De ce fait, le préalable absolu à la recherche éthique sur les êtres humains, tel qu’il est défini par une multitude de documents (notamment le code de Nuremberg, adopté en 1947 en parallèle au procès des médecins nazis, et la déclaration de Helsinki de l’Association médicale mondiale de 1964, révisée en 2004), pose que les sujets concernés puissent donner un consentement éclairé (c’est-à-dire après avoir été correctement informés et avoir compris) et volontaire. La décision ne doit pas être influencée par des mesures de compensation trop généreuses. Ce qui ne va pas sans paradoxes : lorsque des militants antisida ont demandé aux organisateurs d’un essai de vaccins expérimentaux de garantir un traitement à vie à tous les participants qui seraient infectés par le VIH au cours de cet essai, les chercheurs ont répliqué que cette exigence violerait le principe du consentement volontaire – des personnes non infectées auraient pu se porter volontaires pour (dans le cas d’une contamination) accéder par ce biais à des soins de santé autrement inabordables.
Néanmoins, la réalité apparaît, selon un nombre croissant de témoignages, comme fort éloignée de cette exigence. Le taux d’abandon est un des indicateurs employés par les spécialistes de bioéthique pour mesurer la qualité du consentement : si certains sujets refusent de participer ou décrochent en cours d’essai, ils démontrent avoir compris que leur participation était bien le fruit d’une démarche volontaire. Dans les pays occidentaux, ce taux dépasse souvent 40 %. En comparaison, de nombreux enquêteurs cliniques actifs dans les pays en voie de développement déclarent que les sujets potentiels ne refusent jamais de participer. La rapidité avec laquelle les personnes sont recrutées est un autre signe de ce décalage (5).
Dans certains cas (6), jusqu’à 80 % des participants ignorent qu’ils sont libres d’abandonner (lire « La “plaisanterie” du consentement éclairé »). Ce qui devrait constituer une preuve de coercition sert cependant d’argument pour conduire davantage d’essais. Un article publié dans le magazine Applied Clinical Trials souligne que les sujets russes « ne manquent pas leurs rendez-vous, prennent tous les cachets prescrits (...) et ne reviennent que très rarement sur leur consentement. (...) [Ils] font ce que leurs docteurs leur disent. C’est phénoménal ! ». Quant à la publication spécialisée CenterWatch, elle signale — citant un industriel du secteur — que « les Chinois ne sont pas aussi émancipés que les Américains. Ils acceptent volontiers de se transformer en cobayes humains ».
La surveillance exercée par les organismes de régulation européens et américains est minime. A leurs yeux, les essais conduits à l’étranger ont la même validité que ceux réalisés sur place ; toutefois, les fabricants ne sont pas tenus de déclarer ceux conduits à l’étranger : la seule exigence est le respect de la déclaration de Helsinki (et des règles locales si celles-ci prévoient une protection plus importante). Si les tests échouent (ce qui est souvent le cas), ils disparaissent sans laisser aucune trace.
Les comités d’éthique et les organismes de réglementation locaux, qui doivent veiller au respect des droits des sujets, sont rarement à la hauteur de la tâche. En Inde, par exemple, ces hauts fonctionnaires ont pour objectif prioritaire de favoriser le développement des essais cliniques, source de revenus importants. Plusieurs responsables ont déclaré s’attendre à ce que le chiffre d’affaires annuel passe de 70 millions à 1 milliard de dollars. La réglementation a été assouplie : exonérations diverses (droits de douane, impôts) ; élimination des clauses exigeant que des essais de phase III ne soient pas menés en parallèle dans d’autres pays ; suppression de la disposition exigeant que le médicament ait une « valeur spéciale » pour l’Inde (7).
Depuis, selon l’Economic Times, l’un des premiers périodiques économiques du pays, « les opportunités sont extraordinaires, les multinationales, partantes, et les sociétés indiennes, prêtes. Nous avons les compétences, les personnes, et disposons d’un avantage que la Chine n’a pas et n’aura probablement jamais. Surtout, il s’agit là d’une délocalisation contre laquelle les ouvriers américains ne risquent pas de s’élever (8) ».
Dans presque tous les domaines de la pratique médicale et de la recherche en Inde, l’absence de réglementations saute aux yeux. Ni la profession médicale ni l’enseignement ne peuvent se targuer de déontologie : certains établissements ont été accusés de recruter de faux enseignants pour tromper les inspecteurs, de vendre des certificats d’admission et de mettre leurs diplômes aux enchères. Quant au marché pharmaceutique, il est saturé de produits inefficaces ou dangereux, et le pays ne compte que six cents inspecteurs des produits pharmaceutiques. De plus, selon Chandra Gulhati, spécialiste de l’industrie pharmaceutique et éditeur en Inde du Monthly Index of Medical Specialties, « lorsqu’une société est prise en flagrant délit, elle réussit à s’en tirer avec un simple avertissement ».
Il n’est guère surprenant, dans ces conditions, que toute une série de scandales aient éclaté. Dans les années 1970, un médicament antipaludique non autorisé, la quinacrine, a été distribué à des centaines de milliers de femmes analphabètes. Il les a rendues définitivement stériles. Au milieu des années 1980, un contraceptif injectable, retiré du marché après la découverte de l’apparition de tumeurs chez le rat, fut testé sur des villageoises, qui déclarèrent ensuite « ne s’être jamais doutées qu’elles participaient à un essai ».
A la fin des années 1990, des chercheurs du service public ont délibérément interrompu le traitement dont bénéficiaient des femmes analphabètes atteintes de lésions précancéreuses au niveau des vertèbres cervicales afin d’étudier la progression de la maladie. Il est apparu évident plus tard que ces sujets n’avaient pas été informés et n’avaient donné aucun consentement à cette expérimentation qui rappelle la tristement célèbre étude Tuskegee (9). En 2001, dans l’Etat du Kerala, un chercheur de l’université Johns Hopkins a été découvert en train de tester un médicament anticancéreux expérimental sur des patients atteints d’un cancer avant que le produit n’ait été déclaré inoffensif sur des animaux. En 2003, un médicament anticancéreux expérimental a été administré à plus de quatre cents femmes qui cherchaient à améliorer leur fertilité ; le produit était toxique pour les embryons. Bien que la presse s’en soit fait l’écho, aucun de ces scandales n’a entraîné la mise en œuvre d’une quelconque protection juridique pour les personnes concernées.
Offrir les remèdes à qui les a expérimentés ?
dingdingueling- Fonction : Fou du con de la Comtesse, nul en mot de passe...
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
CHASSE À L'HOMME À BERLIN !
Et dans 10 jours:
CHASSE À LA FEMME À COLOGNE !
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L'enfant Voodoo- Fonction : Influenceur nihiliste
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
pas 2 ans de suite quand même!!!L'enfant Voodoo a écrit:CHASSE À L'HOMME À BERLIN !
Et dans 10 jours:
CHASSE À LA FEMME À COLOGNE !
Baron Robert de la etc.- Fonction : Grammar nazi, diptèro-sodomite, écolo-nanar, capilotracteur, opposant à la pensée rance de droite !
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
"Apprivoiser une femme": la formule sexiste du dictionnaire Le Roberthttps://fr.news.yahoo.com/apprivoiser-femme-formule-sexiste-dictionnaire-182322394.html
Baron Robert de la etc.- Fonction : Grammar nazi, diptèro-sodomite, écolo-nanar, capilotracteur, opposant à la pensée rance de droite !
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
dans le U les féministes!Baron Robert de la etc. a écrit:"Apprivoiser une femme": la formule sexiste du dictionnaire Le Roberthttps://fr.news.yahoo.com/apprivoiser-femme-formule-sexiste-dictionnaire-182322394.html
archibald de montpucier- Fonction : Majordome révoqué pour filouterie d'aliment (art 315-5 du code pénal) Fait la manche pour survivre
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Baron Robert de la etc. a écrit:oui mais là ça commence a se voir grave !!!archibald de montpucier a écrit:la loi est faite par l'industrie pharmacologique qui a les médecins dans sa poche et ces derniers tiennent le ministère de la santé par les couilles et les français en otage...C'est bien connu
Et même si ça se voit grave, vous croyez que ça va changer quelque chose ? ... je suis très pessimiste, sur ce sujet comme sur plein d'autres . Et ce n'est pas l'"offre" de candidats à la présidentielle qui me rassure ... que des nazes ou des malhonnêtes (ou quelques illuminés qui ne feront que 0.3 %)
catherine la cuisinière- Fonction : Cuisinière du château, suffragette et cycliste
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
archibald de montpucier a écrit:dans le U les féministes!Baron Robert de la etc. a écrit:"Apprivoiser une femme": la formule sexiste du dictionnaire Le Roberthttps://fr.news.yahoo.com/apprivoiser-femme-formule-sexiste-dictionnaire-182322394.html
Vieux concepts, vieux langage, vieux cons (pas pour vous, les gars, pour les rédacteurs de dictionnaire) ... Depuis Lara Croft, les petites filles élevées par des mères pas trop débiles ont la possibilité de ne pas se laisser apprivoiser de façon traditionnelle
catherine la cuisinière- Fonction : Cuisinière du château, suffragette et cycliste
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
suivez Yannick Jadot sur Twitter : super interessant !!!!catherine la cuisinière a écrit:Baron Robert de la etc. a écrit:oui mais là ça commence a se voir grave !!!archibald de montpucier a écrit:la loi est faite par l'industrie pharmacologique qui a les médecins dans sa poche et ces derniers tiennent le ministère de la santé par les couilles et les français en otage...C'est bien connu
Et même si ça se voit grave, vous croyez que ça va changer quelque chose ? ... je suis très pessimiste, sur ce sujet comme sur plein d'autres . Et ce n'est pas l'"offre" de candidats à la présidentielle qui me rassure ... que des nazes ou des malhonnêtes (ou quelques illuminés qui ne feront que 0.3 %)
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
pourquoi c'la n'arrive-t-il pas en Chine ?
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
en Chine c'est un milliard de connons !!!archibald de montpucier a écrit:pourquoi c'la n'arrive-t-il pas en Chine ?
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Et qui c'est qui va fabriquer les Mac de Bob, après, hein ?archibald de montpucier a écrit:pourquoi c'la n'arrive-t-il pas en Chine ?
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
ou ton PC !!!!L'enfant Voodoo a écrit:Et qui c'est qui va fabriquer les Mac de Bob, après, hein ?archibald de montpucier a écrit:pourquoi c'la n'arrive-t-il pas en Chine ?
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
ARCHIE c'est pour vous !!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Baron Robert de la etc. a écrit:suivez Yannick Jadot sur Twitter : super interessant !!!!catherine la cuisinière a écrit:Baron Robert de la etc. a écrit:oui mais là ça commence a se voir grave !!!archibald de montpucier a écrit:la loi est faite par l'industrie pharmacologique qui a les médecins dans sa poche et ces derniers tiennent le ministère de la santé par les couilles et les français en otage...C'est bien connu
Et même si ça se voit grave, vous croyez que ça va changer quelque chose ? ... je suis très pessimiste, sur ce sujet comme sur plein d'autres . Et ce n'est pas l'"offre" de candidats à la présidentielle qui me rassure ... que des nazes ou des malhonnêtes (ou quelques illuminés qui ne feront que 0.3 %)
le problème des lobbies pharmaceutiques, je l'ai résolu à titre personnel ! étant de formation médicale et méfiant vis à vis des vaccins systématiques,bien qu'obligé de les faire pour exercer, j'ai compris très vite que seul l'achat intéressait les labos ! donc j'achetais les vaccins, je les vidais et les remplaçais par du sérum physiologique ! ensuite je recollais le tout et j'allais me faire vacciner avec cette eau ! le mieux c'est de le faire juste avant d'aller chez le médecin qui te l'injectera pour éviter le risque de développement bactérien ! les parents qui impliquent leurs gosses en refusant de les vacciner et en les mettant au cœur de leur combat contre le lobbying pharmaceutique sont des connards !
ils leur causent beaucoup de soucis alors que l'obligation peut être contournée facilement, ce qui ne les empêche en rien de mener leur lutte à titre de citoyens !
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Je vous signale que chez nous nous sommes greffier de père en fils...Baron Robert de la etc. a écrit:
ARCHIE c'est pour vous !!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
et bien sûr une tronche de gonzesse...histoire d'orienter les candidatures encore plus...Y'en a marre de ces pétasses qui nous prennent nos boulots///
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
ben oui chui bête !!!archibald de montpucier a écrit:Je vous signale que chez nous nous sommes greffier de père en fils...Baron Robert de la etc. a écrit:
ARCHIE c'est pour vous !!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
archibald de montpucier a écrit:et bien sûr une tronche de gonzesse...histoire d'orienter les candidatures encore plus...Y'en a marre de ces pétasses qui nous prennent nos boulots///
Attention à votre petit fluffy derrière, Archie, je chausse seulement du 39, mais je vise juste (obtenant un "putain ce drop !" de la part de mon fils)
Ne profitez pas de l'ambigüité greffier/greffière pour proférer des horreurs sexistes ...
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
S'cusez-moi, Mame Catherine, j'vous avais pas vu entrer....catherine la cuisinière a écrit:archibald de montpucier a écrit:et bien sûr une tronche de gonzesse...histoire d'orienter les candidatures encore plus...Y'en a marre de ces pétasses qui nous prennent nos boulots///
Attention à votre petit fluffy derrière, Archie, je chausse seulement du 39, mais je vise juste (obtenant un "putain ce drop !" de la part de mon fils)
Ne profitez pas de l'ambigüité greffier/greffière pour proférer des horreurs sexistes ...
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Bonjour Catherine !!!! le chat a encore bavé !!!! i'peut pôs s'n'empêcher !!!catherine la cuisinière a écrit:archibald de montpucier a écrit:et bien sûr une tronche de gonzesse...histoire d'orienter les candidatures encore plus...Y'en a marre de ces pétasses qui nous prennent nos boulots///
Attention à votre petit fluffy derrière, Archie, je chausse seulement du 39, mais je vise juste (obtenant un "putain ce drop !" de la part de mon fils)
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
BAGARRE ENTRE SUPPORTERS DU PSG
Troisième rangée...100 complètement déchainé
http://www.msn.com/fr-fr/sport/football/bagarre-entre-supporters-du-psg/ar-AAlSJsR
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
c'est beau l'engagement politit'hic !!archibald de montpucier a écrit:BAGARRE ENTRE SUPPORTERS DU PSG
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Le Marquis dans la tribune Boulogne Il me l'avait toujours caché
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Billancourt pas sur Mer!!!!!Scarla du Barry a écrit:Le Marquis dans la tribune Boulogne Il me l'avait toujours caché
Boulogne Billancourt se nomme ainsi en hommage à notre Dame de Boulogne ( sur mer), haut lieu de pèlerinage au moyen-age !!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
quel érudit ce Bob !Baron Robert de la etc. a écrit:Billancourt pas sur Mer!!!!!Scarla du Barry a écrit:Le Marquis dans la tribune Boulogne Il me l'avait toujours caché
Boulogne Billancourt se nomme ainsi en hommage à notre Dame de Boulogne ( sur mer), haut lieu de pèlerinage au moyen-age !!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Et notre Dame du Bois de Boulogne ?
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
L'enfant Voodoo a écrit:Et notre Dame du Bois de Boulogne ?
Elle est plus souvent sur Twitter, si j'ai bien compris
catherine la cuisinière- Fonction : Cuisinière du château, suffragette et cycliste
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Celle que l'on prie à genoux?L'enfant Voodoo a écrit:Et notre Dame du Bois de Boulogne ?
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
non , c'est elle qui prie a genoux!!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Baron Robert de la etc. a écrit:non , c'est elle qui prie a genoux!!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Baron Robert de la etc. a écrit:non , c'est elle qui prie a genoux!!
archi fait ce qu'il veut ! à bas l'homophobie !!!!
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
...et pendant ce temps là à Paris une pétition pour sauver les rats parisiens recueille déjà 17000 signatures...Le monde devient fou
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Bob l'a déjà signée, je suppose ?Archie a écrit:...et pendant ce temps là à Paris une pétition pour sauver les rats parisiens recueille déjà 17000 signatures...
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Re: LES NEWS C'EST ICI !
Tu parles! Il en a besoin pour son laboL'enfant Voodoo a écrit:Bob l'a déjà signée, je suppose ?Archie a écrit:...et pendant ce temps là à Paris une pétition pour sauver les rats parisiens recueille déjà 17000 signatures...
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